Abstract
F. Giusti-Fici voit dans l’œuvre du linguiste russo-ukrainien A. Potebnja, continuateur de la pensée humboldtienne en Russie, une réflexion sur les constructions impersonnelles comme manifestations de la pensée non orienté sur l’agent, qui se réalisent dans l’impossibilité d’avoir un actant sujet en dépendance du prédicat.

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