Abstract
Le caractère «polyphonique» de l’époque des années 1920-1930 s’observe dans l’article à la base de l’étude de la notion d’interjection dans les travaux de L.V. Ščerba. En considérant les interjections comme les éléments primaires du langage humain dans l’un de ses travaux, Ščerba abordait également leur analyse purement «synchronique». En même temps, il passait du langage à la langue pour distinguer les interjections en tant que catégorie «psycholinguistique» particulière dans la langue russe. Influencé, dans ce dernier cas, par O. Jespersen, Ščerba refusait en même temps de réfléchir sur les interjections comme catégories de la «grammaire générale», en insistant sur l’étude des parties du discours dans des langues particulières, comme le russe.

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