Abstract
Les contributions convergentes de S. Karolak, T. Muryn & B. Wydro illustrent, en l’appliquant chacune à des faits particuliers (énoncés athématiques, préfixes modaux du type il se peut, il est possible, phrases en il y a), une position théorique commune, qui présente trois caractéristiques saillantes : (i) elle attribue aux régularités du niveau sémantique un rôle déterminant dans la structure des énoncés ; (ii) elle pose en principe que tout énoncé, par nécessité logique, a une structure binaire sujet + prédicat ; (iii) elle s’appuie sur une conception de la vérité comme accord entre la réalité et le discours d’un locuteur universel idéalement objectif.

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