Abstract
Cette étude explore une voie d’accès aux représentations lexicales plutôt négligées, que je sache, dans la recherche récente, à l’exception d’une étude de Quasthoff/Hartmann (1982). S’inspirant de l’ethnométhodologie, elle exploite le fait que les interlocuteurs désignent eux-mêmes, dans le cadre de la bifocalisation de la conversation (Bange 1987), certains éléments du discours comme faisant partie de l’information lexicale.

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