Résumé
En amical hommage à Rudolf Wachter, ces quelques réflexions ont pour point de départ la base Zωπυρ°, créatrice d’anthroponymes fort à la mode aux époques tardo-hellénistique et impériale : au total, près de mille individus répertoriés dans la base de données en ligne lgpn2 du Lexicon of Greek Personal Names d’Oxford,1 qui portent en majorité le nom masculin Ζώπυρος (719), au féminin, Ζωπύρᾱ (65x,2 sans attestation de l’équivalent ionien *Ζωπύρη), Ζωπυρίων venant en deuxième en terme de fréquence (100+, ≥ 4a).3 Il s’agira de tenter d’élucider quelques-unes des motivations de la popularité du premier de ces noms.

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