Résumé
L’objet de notre réflexion est l’ambivalence symbolique de la présence de deux langues dans le même sujet parlant. Le corpus est constitué par la parodie Migna Terra [Mon Pays] (1924), de Juó Bananére (pseudonyme de Alexandre Marcondes Machado), référée à son « original », le texte Canção do Exílio [Chanson de l’Exil] de Gonçalves Dias (1850), par rapport en outre à un autre point de comparaison : la parodie Canto do Regresso à Pátria [Chanson du retour à la Patrie] de Oswald de Andade (1924).

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