Abstract
Un de mes privilèges à l’Université de Lausanne a été d’être tout à la fois le collègue et le voisin de bureau de Rudolf Wachter, d’avoir pu ainsi le déranger à chaque fois – et ce fut souvent – qu’une question de linguistique se posait à moi. Je ne ferai pas ici le catalogue de ses réponses, mais je reviendrai sur nos réflexions autour de la question complexe de la signification du nom propre.

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