Abstract
Si les noms anciens de l’ours, du cerf ou de l’œil, par exemple, se rencontrent dans une partie seulement des langues de la famille, ce n’est pas pour des raisons intralinguistiques. Rien, dans la forme de ces termes, ne les prédisposait à disparaître. Le fait déterminant réside dans les croyances et les superstitions des sociétés concernées. Le contexte extralinguistique conditionne ici les procès de réorganisation lexicale.

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