Abstract
De l’Altindische Grammatik d’A. Debrunner se dégage l’impression d’affinités étroites entre le dérivé en -i- et le participe parfait. Si l’examen des formes suggère un rapprochement avec le parfait, l’étude fonctionnelle n’apporte pas de confirmation nette, faute d’éléments contextuels déterminants.

This work is licensed under a Creative Commons Attribution 4.0 International License.