Abstract
Le verbe latin credere compte parmi les survivances de la portion la plus ancienne du lexique indo-européen. Il y a, en effet, une présomption d’archaïsme dans la répartition géographique des données : A côté de lat. crēdō, v.irl cretim et, à l’autre extrémité du domaine, skr. śrad-dhā et av. zraz-dā- appartiennent à des aires marginales. La parenté des formes italo-celtiques et indo-iraniennes paraît incontestable en début de points obscurs dans le détail de l’évolution phonétique.

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